Prenez votre attirail et peignez une tête de mort sur votre torse, les gars : un nouveau justicier a débarqué dans les ruelles glauques de l’univers Marvel, et il s’appelle Joe Garrison. Il est temps de vous donner les détails sur la façon dont ce dur à cuire se mesure à l’emblématique Frank Castle dans ses débuts en tant que Punisher. Dites adieu aux divulgâcheurs détaillés, nous allons droit au cœur de ce qui fait de Garrison le Punisher dont votre étagère de bandes dessinées raffole.
Le Punisher est de retour !
Place aux explosions et à la rage vengeresse dans le récent Punisher n° 1, daté du 8 novembre, gracieuseté de la centrale créative composée du scénariste David Pepose, de l’artiste Dave Wachter, du gourou de la couleur Dan Brown et du sorcier des mots Cory Petit. Tout ce que l’on savait, c’était son nom, mais le numéro plein d’action révèle comment Garrison se glisse dans le rôle vengeur que Castle a taillé avant lui.
Un ancien assassin du SHIELD
Plongez directement dans le vif du sujet : Joe Garrison n’est pas un type ordinaire en quête de vengeance ; c’est un ancien assassin des opérations secrètes du SHIELD. Pensez à l’élégance mortelle de Black Widow et à la puissance mélancolique du Soldat de l’hiver. Les mains de ce type sont aussi « rouges » que celles de ses homologues super-espions, ce qui laisse présager un passé sanglant qui ferait frémir même le mercenaire le plus impassible.
Une croisade personnelle
Après le démantèlement du SHIELD (imaginez Œil-de-faucon du MCU qui raccroche son carquois), Garrison aspirait à une vie tranquille, jusqu’à ce que son monde explose, littéralement. Sa famille est victime d’une attaque ciblée, faisant de lui le seul survivant au sommet des ruines. C’est cette croisade personnelle, un sombre reflet de la propre tragédie de Frank Castle, qui ramène Garrison sur le sentier de la guerre. Sa trousse d’outils ? Oh, elle est intéressante : il est équipé d’une armure corporelle ornée d’une tête de mort, d’un canon à impulsion qui traverse les armures comme si c’était du papier de soie, et de balles traçantes qui vous feront dire : « GPS, c’est quoi ? »
Le nouvel héritier du Punisher
En parlant de motifs de têtes de mort, c’est là que le chemin de Joe rejoint l’héritage punitif de Frank. Le buzz médiatique et les rumeurs des témoins oculaires le désignent comme le nouveau Punisher, un titre qu’il semble né pour revendiquer.
Un Punisher brutal et implacable
Vous craignez que Garrison ne puisse pas remplir les bottes de combat de l’héritage brutal de Castle ? N’ayez crainte. Punisher n° 1 inonde les lecteurs d’une pluie de scènes de combat pleines d’adrénaline et de takedowns hardcore à en décrocher la mâchoire, qui feraient hocher la tête lentement et avec approbation à Castle. Garrison possède la motivation tragique, l’expertise du chaos secret et la tête de mort sur son armure pour canaliser cette essence brute du Punisher.
Un Punisher old-school
Mais la question qui brûle les lèvres : Garrison manie-t-il cette même férocité old-school du Punisher ? L’odeur de l’ennemi carbonisé avant que l’encre de la page de titre ne sèche répond haut et fort : Absolument.
Pour la suite, préparez-vous, car les choses vont s’intensifier : Punisher n° 2 devrait arriver en kiosque le 13 décembre, et vous ne voudriez pas manquer l’action punitive.
Et, fait amusant, Pepose ne se contente pas de façonner le Punisher. Sa plume a également esquissé un conte effrayant dans la bande dessinée d’horreur à succès « The Devil That Wears My Face ».
